24h/24 - 7j/7
24h/24 - 7j/7
Le Bichon Frisé appartient au groupe IX : Chiens d’agrément et de compagnie.
En 2015, le Livre des Origines Français (LOF) a enregistré 1101 inscriptions, ce qui en fait une race assez bien représentée en France (42ème position).
Cette race de chien est très répandue dans le monde. Elle a été particulièrement étudiée et les publications scientifiques sont très nombreuses, ce qui n’en fait pas pour autant une race fragile, les Bichons de Ténériffe ayant même une longévité supérieure à beaucoup d’autres races.
Kérato-acanthome (ou épithelioma intra-cutané kératinisant) :
Dans une étude, le Bichon frisé est considéré comme une race à risque, avec un âge moyen de 7,3 ans.
Pilomatrixome :
Chez le bichon frisé, une prédisposition est suspectée dans une étude avec un âge moyen de 6,6 ans (Goldschmidt and Shofer 1992 ; Goldschmidt and Mc Manus 2000 ; Toma et Noli 2005)
Trichoblastome :
Le Bichon frisé est considéré, dans une étude, comme une race à risque, le plus souvent sur des chiens de plus de 5 ans.
Tumeur baso-cellulaire :
Dans une étude, le Bichon frisé est considéré comme une race prédisposée, avec un âge moyen de 7,9 ans et des localisations concernant surtout la tête et le cou.
Persistance du canal artériel :
Chez le Bichon frisé une origine héréditaire (polygénique) est suspectée et le risque relatif par rapport à la population canine générale est de 5,5.
Hypotrichose congénitale :
Les mâles sont plus concernés
Shunt portosystémique congénital :
Dans une étude, le Bichon Ténériffe est considéré comme une race prédisposée, en particulier pour une forme extrahépatique. Les symptômes surviennent généralement avant l’âge de 1 an et les shunt sont plus fréquents chez les femelles que chez les mâles.
Anémie hémolytique à médiation immune :
Le Bichon frisé est considéré comme prédisposé. Cette anémie touche plutôt les chiens d’âge moyen et plus facilement les femelles. Des variations saisonnières sont également rapportées.
Calculs de la vessie (urolithiase, lithiase urinaire vésicale) :
Chez le bichon frisé, des études font état d’une prédisposition aux lithiases à :
• oxalate de calcium : elles surviennent à un âge moyen de 8 ans environ, avec une prédisposition des mâles (3 :1).
• cystine : chez les chiens jeunes (é à 5 ans) et presque toujours des mâles
• struvite (ou phosphate ammoniaco-magnésien) : avec une moyenne d’âge de 6 ans environ et une nette prédisposition des femelles (16 :1)
Encéphalite à tremblement du petit chien blanc :
La maladie apparaît généralement entre 9 mois et 2 ans.
Surdité congénitale du chien :
Actuellement, la prévalence n’est pas connue chez le Bichon frisé mais une origine héréditaire est suspectée.
Sub-luxation atlanto-axiale :
Bien que n’étant pas la race la plus atteinte, le bichon frisé peut être concerné.
Atrésie des points lacrymaux :
Cette malformation est décrite chez le Bichon frisé ou Ténériffe, mais semble peu fréquente.
Atrophie rétinienne progressive généralisée (ARP) :
Il existe un programme de dépistage de l’affection chez le Bichon frisé.
Cataracte :
Pour les formes primaires, une origine héréditaire est souvent suspectée, sans doute selon un mode autosomique récessif. C’est le cas du Bichon frisé chez qui la maladie apparaît entre 2 et 8 ans, avec une incidence assez forte, évaluée à 11,45 % dans une étude.
Dystrophie cornéenne :
Chez le bichon frisé, la forme stromale apparaît vers 2 ans et la forme endothéliale plutôt à partir de 8 ans.
Dystrophie cornéenne géographique sous-épithéliale congénitale :
Le Bichon frisé est considéré comme une race prédisposée à cette maladie transitoire de la cornée
Entropion :
Chez le bichon frisé cette malformation des paupières est considérée comme probablement héréditaire (selon un mode polygénique). Mais, dans cette race, l’entropion concerne surtout la paupière inférieure dans l’angle interne (nasal). il n’est pas responsable de douleur ou d’irritation car dans cette localisation, la troisième paupière ou membrane nictitante protège les surfaces oculaires. Néanmoins, il est responsable d’un œil larmoyant de façon chronique (ou épiphora), ce qui peut être particulièrement inesthétique.
Glaucome :
Chez le Bichon frisé, le glaucome peut être secondaire à une cataracte mais des glaucomes primaires sont aussi décrits
Micropapille :
Son mode de transmission est actuellement inconnu chez le bichon frisé.
Luxation médiale de la rotule :
Chez le Bichon frisé le risque (Odds ratio) par rapport aux chiens de races croisées est de 4,8.
Kérato-acanthome (ou épithelioma intra-cutané kératinisant) :
Dans une étude, le Bichon frisé est considéré comme une race à risque, avec un âge moyen de 7,3 ans.
Pilomatrixome :
Chez le bichon frisé, une prédisposition est suspectée dans une étude avec un âge moyen de 6,6 ans (Goldschmidt and Shofer 1992 ; Goldschmidt and Mc Manus 2000 ; Toma et Noli 2005)
Trichoblastome :
Le Bichon frisé est considéré, dans une étude, comme une race à risque, le plus souvent sur des chiens de plus de 5 ans.
Tumeur baso-cellulaire :
Dans une étude, le Bichon frisé est considéré comme une race prédisposée, avec un âge moyen de 7,9 ans et des localisations concernant surtout la tête et le cou.
Hypotrichose congénitale :
Les mâles sont plus concernés
Anémie hémolytique à médiation immune :
Le Bichon frisé est considéré comme prédisposé. Cette anémie touche plutôt les chiens d’âge moyen et plus facilement les femelles. Des variations saisonnières sont également rapportées.
Encéphalite à tremblement du petit chien blanc :
La maladie apparaît généralement entre 9 mois et 2 ans.
Surdité congénitale du chien :
Actuellement, la prévalence n’est pas connue chez le Bichon frisé mais une origine héréditaire est suspectée.
Sub-luxation atlanto-axiale :
Bien que n’étant pas la race la plus atteinte, le bichon frisé peut être concerné.
Luxation médiale de la rotule :
Chez le Bichon frisé le risque (Odds ratio) par rapport aux chiens de races croisées est de 4,8.
Persistance du canal artériel :
Chez le Bichon frisé une origine héréditaire (polygénique) est suspectée et le risque relatif par rapport à la population canine générale est de 5,5.
Shunt portosystémique congénital :
Dans une étude, le Bichon Ténériffe est considéré comme une race prédisposée, en particulier pour une forme extrahépatique. Les symptômes surviennent généralement avant l’âge de 1 an et les shunt sont plus fréquents chez les femelles que chez les mâles.
Calculs de la vessie (urolithiase, lithiase urinaire vésicale) :
Chez le bichon frisé, des études font état d’une prédisposition aux lithiases à :
• oxalate de calcium : elles surviennent à un âge moyen de 8 ans environ, avec une prédisposition des mâles (3 :1).
• cystine : chez les chiens jeunes (é à 5 ans) et presque toujours des mâles
• struvite (ou phosphate ammoniaco-magnésien) : avec une moyenne d’âge de 6 ans environ et une nette prédisposition des femelles (16 :1)
Atrésie des points lacrymaux :
Cette malformation est décrite chez le Bichon frisé ou Ténériffe, mais semble peu fréquente.
Atrophie rétinienne progressive généralisée (ARP) :
Il existe un programme de dépistage de l’affection chez le Bichon frisé.
Cataracte :
Pour les formes primaires, une origine héréditaire est souvent suspectée, sans doute selon un mode autosomique récessif. C’est le cas du Bichon frisé chez qui la maladie apparaît entre 2 et 8 ans, avec une incidence assez forte, évaluée à 11,45 % dans une étude.
Dystrophie cornéenne :
Chez le bichon frisé, la forme stromale apparaît vers 2 ans et la forme endothéliale plutôt à partir de 8 ans.
Dystrophie cornéenne géographique sous-épithéliale congénitale :
Le Bichon frisé est considéré comme une race prédisposée à cette maladie transitoire de la cornée
Entropion :
Chez le bichon frisé cette malformation des paupières est considérée comme probablement héréditaire (selon un mode polygénique). Mais, dans cette race, l’entropion concerne surtout la paupière inférieure dans l’angle interne (nasal). il n’est pas responsable de douleur ou d’irritation car dans cette localisation, la troisième paupière ou membrane nictitante protège les surfaces oculaires. Néanmoins, il est responsable d’un œil larmoyant de façon chronique (ou épiphora), ce qui peut être particulièrement inesthétique.
Glaucome :
Chez le Bichon frisé, le glaucome peut être secondaire à une cataracte mais des glaucomes primaires sont aussi décrits
Micropapille :
Son mode de transmission est actuellement inconnu chez le bichon frisé.