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Le Berger australien appartient au groupe I : Chiens de Berger, Chiens de Bouvier (sauf Chiens de Bouviers Suisses)
En 2018, le Livre des Origines Français (LOF) a enregistré 12.906 inscriptions, ce qui met la race en première position de la population canine française.
Cette race de chien, très répandue dans le monde a été particulièrement étudiée et les publications scientifiques concernant sa santé sont assez très nombreuses, ce qui n’en fait pas pour autant une race fragile.
Cette malformation cardiaque congénitale est décrite chez le Berger australien avec un Odds ratio élevé, de 27,3. (Oliveira et al 2011).
Persistance du canal artériel chez le chien (angiographie)
Panniculite nodulaire stérile idiopathique
Le Berger australien est sur-représenté dans une étude américaine. (Contreary et al 2015).
Hypercorticisme ou maladie de Cushing
Une étude américaine rapporte une prédisposition du Berger australien. (Wood et al 2007).
Malabsorption sélective de la vitamine B12 (cobalamine)
(voir en Hématologie ci-dessous)
Une déficience modérée en facteur VIII, sous forme familiale, est rapportée chez le Berger australien. (Brooks 1999)
Malabsorption sélective de la vitamine B12 (cobalamine)
Chez le Berger australien une transmission héréditaire selon un mode autosomique et récessif a été démontrée. Une mutation a été identifiée (gène AMN porté par le chromosome 8 et codant une protéine transmembranaire de type 1. Mutation c.3G>A, au niveau de l’exon 1 du gène). Il existe un test génétique de dépistage. (He Q., Madsen M., Kilkenney A 2005).
Urolithiase (calculs urinaires)
Chez le Berger australien, une prédisposition aux calculs de cystine est rapportée dans une étude avec une prédisposition des mâles. (Case et al 1992).
chirurgie pour retrait d’un calcul urinaire chez le chien
Chez le Berger australien, une étude allemande a mis en évidence, chez les chiens épiléptiques, que le phénotype « non-merle » était associé à des crises mal contrôlées. Une origine héréditaire est suspectée. (Weissl et al 2012).
Maladies lysosomales nerveuses (ou maladies nerveuses de surcharge) : lipofuscinose céroïde
La lipofuscinose céroïde sous une forme juvénile, a été décrite chez le Berger australien mais reste rare. La maladie est héréditaire avec une transmission selon un mode autosomique et récessif. La mutation (exon 7 : T vers C) est responsable d’une anomalie sur la protéine CLN6. Il existe un test de dépistage génétique. (Katz ML et al 2011).
Chez le Berger australien, une surdité neurosensorielle congénitale de type cochléo-sacculaire est décrite. Les chiens à robe Merle ou blanche sont prédisposés (et ils ont très souvent les yeux bleus). Le mode de transmission et la mutation ne sont pas encore décrites. (Strain 2004).
Chez le Berger australien, cette affection congénitale est suspectée d’être héréditaire. (Munyard et al 2007).
Anomalies oculaires multiples chez le chien
Chez le Berger australien, une origine héréditaire est suspectée, avec une transmission sur un mode autosomal et récessif, à pénétrance incomplète. L’affection semble associée chez les chiens merles avec une prédominance de poils blancs. Les anomalies comprennent : microphtalmie , microcornée, cataracte , persistance de la membrane pupillaire , colobomes et dysplasie rétinienne .
(Gelatt et al 1981)
Chez le Berger australien, une forme héréditaire se transmettant sur un mode autosomique et dominant est suspectée. (Mellersh et al 2006 ; Gelatt and MacKay 2005)
Kératite superficielle chronique du chien (KSC ou pannus)
Une prédisposition du Berger australien est rapportée avec une suspicion de transmission héréditaire. Elle touche les chiens d’âge moyen (4 à 7 ans). La prévalence et la gravité augmentent avec l’altitude. (Chavkin et al 1994)
Chez le Berger australien une transmission selon mode autosomique et récessif est suspectée. La gravité des lésions est corrélée au statut homozygote des chiens pour le gène Merle (dysgénésie oculaire liée au gène Merle). (Cook CS 2013)
Persistance de l’artère hyaloïde
Chez le Berger australien, cette affection congénitale semble héréditaire. (Munyard et al 2007).
En France, chez le Berger australien, la prévalence est de 11,8% (Genevois et al 2008).
Nécrose aseptique de la tête fémorale (maladie de Legg-Perthes-Calve)
C’est une affection décrite, mais peu courante, chez le Berger australien, avec un Odds ratio de 1,91 par rapport aux chiens croisés. (LaFond, Breur and Austin 2002)
Chez le Berger australien, la queue courte est due à une mutation du gène T. La transmission de la mutation se fait selon un mode autosomique et dominant. Les chiens homozygotes ne sont pas viables (mortalité embryonnaire). (Hytönen et al 2009).
Toxicité médicamenteuse liée au gène MDR1 (ABCB1) ou hypersensibilité aux avermectines (ivermectine)
Aux USA, chez le Berger australien, 12 à 16,6 % des chiens seraient concernés. Ils seraient 46% en Grande-Bretagne. (Hadrick M.K., Bunch S.E., Kornegay J.N 1995 ; Neff et al 2004 ; Mealey et al 2005 ; Tappin et al 2012).
Cette malformation cardiaque congénitale est décrite chez le Berger australien avec un Odds ratio élevé, de 27,3. (Oliveira et al 2011).
Persistance du canal artériel chez le chien (angiographie)
Hypercorticisme ou maladie de Cushing
Une étude américaine rapporte une prédisposition du Berger australien. (Wood et al 2007).
Une déficience modérée en facteur VIII, sous forme familiale, est rapportée chez le Berger australien. (Brooks 1999)
Malabsorption sélective de la vitamine B12 (cobalamine)
Chez le Berger australien une transmission héréditaire selon un mode autosomique et récessif a été démontrée. Une mutation a été identifiée (gène AMN porté par le chromosome 8 et codant une protéine transmembranaire de type 1. Mutation c.3G>A, au niveau de l’exon 1 du gène). Il existe un test génétique de dépistage. (He Q., Madsen M., Kilkenney A 2005).
Chez le Berger australien, une étude allemande a mis en évidence, chez les chiens épiléptiques, que le phénotype « non-merle » était associé à des crises mal contrôlées. Une origine héréditaire est suspectée. (Weissl et al 2012).
Maladies lysosomales nerveuses (ou maladies nerveuses de surcharge) : lipofuscinose céroïde
La lipofuscinose céroïde sous une forme juvénile, a été décrite chez le Berger australien mais reste rare. La maladie est héréditaire avec une transmission selon un mode autosomique et récessif. La mutation (exon 7 : T vers C) est responsable d’une anomalie sur la protéine CLN6. Il existe un test de dépistage génétique. (Katz ML et al 2011).
Chez le Berger australien, une surdité neurosensorielle congénitale de type cochléo-sacculaire est décrite. Les chiens à robe Merle ou blanche sont prédisposés (et ils ont très souvent les yeux bleus). Le mode de transmission et la mutation ne sont pas encore décrites. (Strain 2004).
En France, chez le Berger australien, la prévalence est de 11,8% (Genevois et al 2008).
Nécrose aseptique de la tête fémorale (maladie de Legg-Perthes-Calve)
C’est une affection décrite, mais peu courante, chez le Berger australien, avec un Odds ratio de 1,91 par rapport aux chiens croisés. (LaFond, Breur and Austin 2002)
Chez le Berger australien, la queue courte est due à une mutation du gène T. La transmission de la mutation se fait selon un mode autosomique et dominant. Les chiens homozygotes ne sont pas viables (mortalité embryonnaire). (Hytönen et al 2009).
Panniculite nodulaire stérile idiopathique
Le Berger australien est sur-représenté dans une étude américaine. (Contreary et al 2015).
Malabsorption sélective de la vitamine B12 (cobalamine)
(voir en Hématologie ci-dessous)
Urolithiase (calculs urinaires)
Chez le Berger australien, une prédisposition aux calculs de cystine est rapportée dans une étude avec une prédisposition des mâles. (Case et al 1992).
chirurgie pour retrait d’un calcul urinaire chez le chien
Chez le Berger australien, cette affection congénitale est suspectée d’être héréditaire. (Munyard et al 2007).
Anomalies oculaires multiples chez le chien
Chez le Berger australien, une origine héréditaire est suspectée, avec une transmission sur un mode autosomal et récessif, à pénétrance incomplète. L’affection semble associée chez les chiens merles avec une prédominance de poils blancs. Les anomalies comprennent : microphtalmie , microcornée, cataracte , persistance de la membrane pupillaire , colobomes et dysplasie rétinienne .
(Gelatt et al 1981)
Chez le Berger australien, une forme héréditaire se transmettant sur un mode autosomique et dominant est suspectée. (Mellersh et al 2006 ; Gelatt and MacKay 2005)
Kératite superficielle chronique du chien (KSC ou pannus)
Une prédisposition du Berger australien est rapportée avec une suspicion de transmission héréditaire. Elle touche les chiens d’âge moyen (4 à 7 ans). La prévalence et la gravité augmentent avec l’altitude. (Chavkin et al 1994)
Chez le Berger australien une transmission selon mode autosomique et récessif est suspectée. La gravité des lésions est corrélée au statut homozygote des chiens pour le gène Merle (dysgénésie oculaire liée au gène Merle). (Cook CS 2013)
Persistance de l’artère hyaloïde
Chez le Berger australien, cette affection congénitale semble héréditaire. (Munyard et al 2007).
Toxicité médicamenteuse liée au gène MDR1 (ABCB1) ou hypersensibilité aux avermectines (ivermectine)
Aux USA, chez le Berger australien, 12 à 16,6 % des chiens seraient concernés. Ils seraient 46% en Grande-Bretagne. (Hadrick M.K., Bunch S.E., Kornegay J.N 1995 ; Neff et al 2004 ; Mealey et al 2005 ; Tappin et al 2012).