24h/24 - 7j/7
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L’Akita Inu appartient au groupe V : Chiens nordiques, de type Spitz et de type primitif.
En 2015, le Livre des Origines Français (LOF) a enregistré 801 inscriptions, ce qui en fait une race encore peu représentée en France, située au 56ème rang des naissances. On note une progression des inscriptions de 7% par rapport à 2014.
C’est un chien plutôt robuste. Il y a assez peu de littérature scientifique récente concernant les éventuelles prédispositions pathologiques pour cette race.
Microcytose érythrocytaire
Les globules rouges de l’Akita Inu peuvent être de petite taille sans que cela ait, dans cette race, de signification pathologique. Les globules rouges (ou hématies) contiennent également plus de potassium que ceux des autres races de chiens. Cette particularité peut avoir des conséquences dans l’interprétation de la kaliémie.
Communication interventriculaire (CIV)
Une prédisposition est rapportée chez l’Akita Inu. Le Odds ratio dans cette race est de 4,1 par rapport à la population canine générale. Il n’est pas observé de prédisposition de sexe. (Buchanan 1999)
Echocardiographie d’une communication interventriculaire chez un chien. Le Doppler est positionné sur la communication (flèche verte) et un flux anormal de très haute vélocité est enregistré (flèche rouge).
Epanchement péricardique
L’Akita Inu présente un risque relatif d’épanchement péricardique par rapport à la population canine générale nettement augmenté (6,5). L’affection touche habituellement des chiens d’âge moyen. (Buchanan 1999)
Adénite sébacée granulomateuse
Chez l’Akita Inu, c’est une affection héréditaire. On suspecte une transmission autosomale récessive. Elle est peu courante et sans prédisposition de sexe. Elle touche les chiens âgés ou d’âge moyen avec une moyenne de 4,8 ans. Dans cette race, la maladie a tendance à évoluer vers un grisonnement généralisé. Dans une étude suédoise, 10% des cas étaient des Akita Inu. (Tevell, Bergwall and Egenvall 2008)
Pemphigus foliacé
Chez l’Akita Inu, c’est une affection peu courante, sans prédisposition de sexe et avec un âge moyen de 4,2 ans. Le Odds ratio est de 37,8 par rapport à la population canine générale. (Ihrke et al. 1985 ; Kuhl, Shofer and Goldschmidt 1994)
Syndrome uvéo-cutané
(voir Ophtalmologie)
Syndrome dilatation torsion d’estomac
L’Akita Inu est considéré par certains auteurs comme une race à risque (Sargan 2004)
Hémophilie de type A
Une déficience modérée en facteur VIII, sous forme familiale, est rapportée chez l’Akita Inu. (Brooks 1999)
Maladies lysosomales nerveuses (ou maladies nerveuses de surcharge)
Chez l’Akita Inu, la maladie de stockage du glycogène (ou glycogénose) est décrite mais rare. Les signes cliniques apparaissent avant 3 mois (Shelton 2002)
Myasthénie grave (myasthenia gravis)
C’est une affection peu commune chez l’Akita Inu et qui se produit plus particulièrement à deux périodes : entre 4 mois et 4 ans mais aussi entre 9 et 13 ans. ( Penderis 2003)
Surdité congénitale du chien
Actuellement, la prévalence n’est pas connue chez l’Akita Inu mais une origine héréditaire est suspectée. (Strain 2004)
Syndrome vestibulaire congénital
Chez l’Akita Inu, les signes cliniques apparaissent avant 3 mois et la forme est souvent bilatérale. Une surdité congénitale peut y être associée. (Bagley 2005)
Anomalies oculaires multiples
Chez l’Akita Inu, une origine héréditaire est suspectée, autosomale et récessive. Les anomalies rencontrées peuvent être une cataracte congénitale, des anomalies de la rétine, un lenticone postérieur et une microphtalmie. (Laratta et al. 1985 ; Rubin 1989 ; AVCO Genetics committee 2007)
Atrophie rétinienne progressive généralisée (ARP, GPRA)
Chez l’Akita Inu, l’affection est héréditaire selon un mode autosomal et récessif. La cécité nocturne apparaît vers 1 à 3 ans et les chiens deviennent aveugles entre 3 et 5 ans. (Paulsen et al. 1988 ; Rubin 1989 ; ACVO Genetics Committee 2007)
Entropion
Chez l’Akita Inu, une prédisposition est rapportée avec une suspicion de transmission héréditaire sur un mode polygénique. Il affecte les chiens dès l’âge de 6 semaines et est souvent bilatéral. Il est souvent important et peut alors engendrer des kératites chroniques superficielles pigmentées chez le jeune adulte (Laratta et al. 1985 ; Rubin 1989 ; ACVO Genetics Committee 2009 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Glaucome
Chez l’Akita Inu, le glaucome primaire semble avoir une origine héréditaire. Il s’observe entre 2 et 4 ans. (Rubin 1989 ; Gelatt and Mackay 2004 ; Gelatt 2007)
Syndrome uvéo-cutané
L’Akita Inu est considéré comme une race prédisposée. L’affection touche les jeunes adultes (1,5 à 4 ans). (Morgan 1989 ; Rubin 1989 ; Angles, Famula and Pedersen 2005 ; ACVO Genetics Committee 2007)
Syndrome uvéo-cutané (syndrome Vogt-Koyanagi-Harada) chez un chien. Le fond d’œil est caractéristique des séquelles laissées par l’inflammation du fond d’œil (choriorétinite) associée au syndrome uvéo-dermatologique : la zone sans tapis (inférieure) présente des zones éparses et étendues de dépigmentation ; à ce stade, l’œil n’était plus visuel. Par ailleurs, la papille n’apparaît plus blanche, mais grisâtre et terne car dégénérée.
Luxation de la rotule
Chez l’Akita Inu, c’est une affection fréquente. Le Odds ratio, par rapport aux chiens croisés, est de 6,7. (LaFond, Breur and Austin 2002, Alam et al. 2007)
Radiographie de face du genou d’un chien présentant une luxation de rotule. Ici, la trop longue attente avant la décision de chirurgie explique que la rotule est luxée (flèche) de façon permanente. La position normale de la rotule est signalée par l’étoile)
Panostéite éosinophilique ou énostose
Chez l’Akita Inu, l’affection est assez commune et les jeunes mâles sont plus touchés. Par rapport aux races croisées, le Odds ratio chez l’Akita Inu est de 1,8. (LaFond, Breur and Austin 2002)
Rupture des ligaments croisés
Chez l’Akita Inu, c’est une cause fréquente de boiterie d’un membre postérieur et les chiens stérilisés sont prédisposés. (Duval et al. 1999)
Microcytose érythrocytaire
Les globules rouges de l’Akita Inu peuvent être de petite taille sans que cela ait, dans cette race, de signification pathologique. Les globules rouges (ou hématies) contiennent également plus de potassium que ceux des autres races de chiens. Cette particularité peut avoir des conséquences dans l’interprétation de la kaliémie.
Adénite sébacée granulomateuse
Chez l’Akita Inu, c’est une affection héréditaire. On suspecte une transmission autosomale récessive. Elle est peu courante et sans prédisposition de sexe. Elle touche les chiens âgés ou d’âge moyen avec une moyenne de 4,8 ans. Dans cette race, la maladie a tendance à évoluer vers un grisonnement généralisé. Dans une étude suédoise, 10% des cas étaient des Akita Inu. (Tevell, Bergwall and Egenvall 2008)
Pemphigus foliacé
Chez l’Akita Inu, c’est une affection peu courante, sans prédisposition de sexe et avec un âge moyen de 4,2 ans. Le Odds ratio est de 37,8 par rapport à la population canine générale. (Ihrke et al. 1985 ; Kuhl, Shofer and Goldschmidt 1994)
Syndrome uvéo-cutané
(voir Ophtalmologie)
Hémophilie de type A
Une déficience modérée en facteur VIII, sous forme familiale, est rapportée chez l’Akita Inu. (Brooks 1999)
Anomalies oculaires multiples
Chez l’Akita Inu, une origine héréditaire est suspectée, autosomale et récessive. Les anomalies rencontrées peuvent être une cataracte congénitale, des anomalies de la rétine, un lenticone postérieur et une microphtalmie. (Laratta et al. 1985 ; Rubin 1989 ; AVCO Genetics committee 2007)
Atrophie rétinienne progressive généralisée (ARP, GPRA)
Chez l’Akita Inu, l’affection est héréditaire selon un mode autosomal et récessif. La cécité nocturne apparaît vers 1 à 3 ans et les chiens deviennent aveugles entre 3 et 5 ans. (Paulsen et al. 1988 ; Rubin 1989 ; ACVO Genetics Committee 2007)
Entropion
Chez l’Akita Inu, une prédisposition est rapportée avec une suspicion de transmission héréditaire sur un mode polygénique. Il affecte les chiens dès l’âge de 6 semaines et est souvent bilatéral. Il est souvent important et peut alors engendrer des kératites chroniques superficielles pigmentées chez le jeune adulte (Laratta et al. 1985 ; Rubin 1989 ; ACVO Genetics Committee 2009 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Glaucome
Chez l’Akita Inu, le glaucome primaire semble avoir une origine héréditaire. Il s’observe entre 2 et 4 ans. (Rubin 1989 ; Gelatt and Mackay 2004 ; Gelatt 2007)
Syndrome uvéo-cutané
L’Akita Inu est considéré comme une race prédisposée. L’affection touche les jeunes adultes (1,5 à 4 ans). (Morgan 1989 ; Rubin 1989 ; Angles, Famula and Pedersen 2005 ; ACVO Genetics Committee 2007)
Syndrome uvéo-cutané (syndrome Vogt-Koyanagi-Harada) chez un chien. Le fond d’œil est caractéristique des séquelles laissées par l’inflammation du fond d’œil (choriorétinite) associée au syndrome uvéo-dermatologique : la zone sans tapis (inférieure) présente des zones éparses et étendues de dépigmentation ; à ce stade, l’œil n’était plus visuel. Par ailleurs, la papille n’apparaît plus blanche, mais grisâtre et terne car dégénérée.
Communication interventriculaire (CIV)
Une prédisposition est rapportée chez l’Akita Inu. Le Odds ratio dans cette race est de 4,1 par rapport à la population canine générale. Il n’est pas observé de prédisposition de sexe. (Buchanan 1999)
Echocardiographie d’une communication interventriculaire chez un chien. Le Doppler est positionné sur la communication (flèche verte) et un flux anormal de très haute vélocité est enregistré (flèche rouge).
Epanchement péricardique
L’Akita Inu présente un risque relatif d’épanchement péricardique par rapport à la population canine générale nettement augmenté (6,5). L’affection touche habituellement des chiens d’âge moyen. (Buchanan 1999)
Syndrome dilatation torsion d’estomac
L’Akita Inu est considéré par certains auteurs comme une race à risque (Sargan 2004)
Maladies lysosomales nerveuses (ou maladies nerveuses de surcharge)
Chez l’Akita Inu, la maladie de stockage du glycogène (ou glycogénose) est décrite mais rare. Les signes cliniques apparaissent avant 3 mois (Shelton 2002)
Myasthénie grave (myasthenia gravis)
C’est une affection peu commune chez l’Akita Inu et qui se produit plus particulièrement à deux périodes : entre 4 mois et 4 ans mais aussi entre 9 et 13 ans. ( Penderis 2003)
Surdité congénitale du chien
Actuellement, la prévalence n’est pas connue chez l’Akita Inu mais une origine héréditaire est suspectée. (Strain 2004)
Syndrome vestibulaire congénital
Chez l’Akita Inu, les signes cliniques apparaissent avant 3 mois et la forme est souvent bilatérale. Une surdité congénitale peut y être associée. (Bagley 2005)
Luxation de la rotule
Chez l’Akita Inu, c’est une affection fréquente. Le Odds ratio, par rapport aux chiens croisés, est de 6,7. (LaFond, Breur and Austin 2002, Alam et al. 2007)
Radiographie de face du genou d’un chien présentant une luxation de rotule. Ici, la trop longue attente avant la décision de chirurgie explique que la rotule est luxée (flèche) de façon permanente. La position normale de la rotule est signalée par l’étoile)
Panostéite éosinophilique ou énostose
Chez l’Akita Inu, l’affection est assez commune et les jeunes mâles sont plus touchés. Par rapport aux races croisées, le Odds ratio chez l’Akita Inu est de 1,8. (LaFond, Breur and Austin 2002)
Rupture des ligaments croisés
Chez l’Akita Inu, c’est une cause fréquente de boiterie d’un membre postérieur et les chiens stérilisés sont prédisposés. (Duval et al. 1999)
Forte, front large, stop marqué avec un sillon frontal net. Chanfrein droit. Museau assez long et fort, lèvres serrées.
Petits, presque triangulaires, brun foncé.
Petites, épaisses, triangulaires, légèrement arrondies à leur extrémité. Dressées et inclinées vers l’avant.
Attachée haut, épaisse, bien enroulée sur le dos.
Allongé. Cou épais, musclé et sans fanon. Poitrine haute, côtes modérément cintrées. Dos droit, solide, rein large, musclé. Ventre bien relevé.
Développés, ossature puissante. Pieds épais, ronds, cambrés et serrés.
Court, dur, droit. Plus long sur le garrot, la croupe, et encore plus sur la queue. Sous poil souple et dense.
Rouge, sésame, bringé et blanc. Les couleurs citées, excepté le blanc, doivent présenter « l’urajiro » : poil blanchâtre sur les faces latérales du museau, les joues, sous la mâchoire, sur la gorge, le poitrail et le ventre,
sur la face inférieure de la queue et la face interne des membres.
Mâle : 67 cm (de 64 à 70 cm)
Femelle : 61 cm (de 58 à 64 cm)
De 30 à 50 kg