24h/24 - 7j/7
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En 2013, le Livre Officiels des Origines Français (LOOF) a enregistré 3705 inscriptions, ce qui met la race du Persan en 3ème position de la population féline française inscrite au LOOF.
Cette race de chat, très répandue dans le monde a été particulièrement étudiée et les publications scientifiques sont très nombreuses, ce qui n’en fait pas pour autant une race fragile, les chats Persans ayant même une longévité supérieure à beaucoup d’autres races.
Groupes sanguins :
Chez le chat Persan, la répartition des groupes sanguins est variable selon les pays :
En Australie : 67 % de groupe A, 22 % de groupe B et 11 % de groupe AB
En Grande-Bretagne : 80 % de groupe A, 20 % de groupe B et 0 % de groupe AB
Au Portugal : 86 % de groupe A, 14 % de groupe B
(Silvestre-Ferreira et al. 2004 ; Malik et al. 2005 ; Forcada, Guitian and Gibson 2007)
Tumeur baso-cellulaire :
Chez le Persan, une prédisposition aux tumeurs basocellulaires est rapportée, y compris pour le carcinome basocellulaire. Le risque augmente avec l’âge. (Diters and Walsh 1984 ; Goldschmidt and Shofer 1992 ; Thomas and Fox 1998)
Tumeurs des glandes sébacées :
Le Persan est une race de chat considérée comme prédisposée aux tumeurs des glandes sébacées par certains auteurs. (Goldschmidt and Mcmanus 2000)
Cardiomyopathie hypertrophique (CMH ou HCM) :
Le chat Persan est prédisposé aux myocardiopathies hypertrophiques (CMH). Dans cette race, l’affection survient plutôt sur les chats d’âge moyen ou âgés avec une prédisposition des mâles. Pour certaines formes de CMH du Persan, une origine héréditaire est suspectée. (Atkins 2002)
Le chat Persan est prédisposé à une forme de Myocardiopathie hypertrophique (CMH ou MCH). L’oreillette gauche (AG) est très dilatée, la cavité ventriculaire gauche (VG) est réduite par l’hypertrophie très importante du myocarde ventriculaire (flèches).
Epanchement péricardique :
Le chat Persan semble plus fréquemment touché mais cette affection reste rare. (Davidson et al. 2008)
Hernie péricardo-diaphragmatique (phrénopéricardique) :
Le Persan est une race considérée comme prédisposée par certains auteurs, en particulier les femelles. Une transmission héréditaire sur un mode autosomal et récessif est rapportée. (Bonagura and Lehmkuhl 1999)
Dermatite faciale idiopathique :
Chez le chat Persan, c’est une affection peu fréquente dont la cause est inconnue mais une origine génétique est évoquée. (Hnilica 2003)
Séborrhée primaire :
Chez le Persan, c’est une affection rare avec une transmission héréditaire autosomique et récessive. (Scott, Miller and Griffin 2001).
Teigne (dermatophytose) :
L’affection est fréquente chez le chat Persan qui peut développer des pseudo-mycétomes sous formes de nodules ulcérés et suintants sur le dos où la base de la queue. (Scott and Paradis 1990)
Chat atteint de teigne. Lésions typiques circulaires : dépilations, rougeur, pellicules
Polykystose hépatique :
Chez le Persan, la polykystose hépatique est héréditaire selon un mode autosomal et dominant. Elle est associée à la maladie rénale polykystique (PKD). (Eaton et al. 1997 ; Bosie, van den Ingh and van der Linde-Spiman 1998)
Shunt portosystémique congénital :
Chez le chat Persan, une prédisposition des mâles est rapportée, avec un fort taux de chats cryptorchides (24%). Il s’agit le plus souvent de shunt extra-hépatiques. (Tillson and Winkler 2002 ; Ellison 2004 ; Hunt 2004)
Isoérythrolyse néonatale :
Chez le Persan, le pourcentage de mariages à risque est estimé à 12 % (Bussiere 2009)
Syndrome de Chédiak-Higashi (CHS) :
Cette affection est décrite chez le Persan blue smoke uniquement. Sa transmission est héréditaire selon un mode autosomique et récessif. Les signes cliniques se traduisent par une hypopigmentation du fond d’œil et de l’iris, un nystagmus, une cataracte. (Collier, Bryan and Prieur 1979 ; Giger 2003)
Cystite idiopathique :
Chez le chat Persan, une prédisposition est rapportée, en particulier pour les mâles castrés. L’âge moyen est de 4 ans et 11 mois. (Gunn-Moore 2003 ; Cameron et al. 2004)
Maladie rénale polykystique ( Polykystose rénale, PKD) :
Chez le chat Persan, cette affection est héréditaire selon un mode autosomal et dominant. On estime que 38 % des Persans sont affectés. L’insuffisance rénale peut apparaître dès l’âge de 2 à 3 ans. (Cannon et al. 2001 ; Barthez, Rivier and Begon 2003 ; Young et al. 2005)
Echographie des reins d’un chat Persan atteint de polykystose rénale (PKD)
Urolithiase (lithiase urinaire ou calculs urinaires) :
Chez le chat Persan une prédisposition aux calculs d’oxalate de calcium est rapportée. Les mâles sont plus exposés que les femelles, ainsi que les animaux stérilisés. L’âge moyen rapporté est de 7,5 ans. (Thumchai et al. 1996 ; Lekcharoensuk et al. 2000 ; Houston et al. 2003 ; Cannon et al. 2007)
Maladies lysosomales nerveuses :
Chez le Persan, une maladie lysosomale, l’alpha-mannosidose, est décrite mais rare. Une origine héréditaire est suspectée. Les signes cliniques apparaissent vers 2 à 4 mois. Un test génétique existe. (Bagley 2005)
Colobome des paupières :
Le chat Persan est considéré comme prédisposé au colobome congénital des paupières. (Belhorn, Barnett and Henking 1971)
Entropion :
Le chat Persan est prédisposé à l’entropion et une origine héréditaire est suspectée. (Narfström 1999)
Epiphora idiopathique :
Le chat Persan est une race prédisposée en raison de la forme de sa tête et des fentes palpébrales. (Gelatt 2007)
Chat Persan présentant un épiphora. Celui-ci est très fréquent dans la race.
Maladie lysosomale (alpha-mannosidose) :
voir en neurologie
Séquestre cornéen (ou nécrose de la cornée) :
Le chat Persan est considéré comme une race à risque. (Narfström 1999 ; Featherstone and Sansom 2004)
Syndrome de Chédiak-Higashi (CHS) :
voir Hématologie
Polype nasopharyngé :
Une prédisposition du chat Persan est rapportée par certains auteurs, en particulier pour les jeunes persans, sans prédisposition de sexe (Salisbury 2002)
Cryptorchidie, monorchidie ou ectopie testiculaire :
Dans certaines études, le chat Persan est considéré comme prédisposé à la cryptorchidie avec une suspicion de transmission héréditaire selon un mode polygénique. (Millis, Hauptman and Johnson 1992 ; Bruce 2001 ; Yates et al. 2003)
Mise bas et dystocie :
Le chat Persan est considéré par certains auteurs comme une race prédisposée aux dystocies. (Ekstrand and Linde-Forsburg 1994 ; Gunn-Moore and Thrusfield 1995)
Mortalité néonatale et périnatale :
Certains auteurs rapportent une viabilité des chatons à la naissance plus faible que dans d’autres races : (89,2%) chez le chat Persan contre 92,8% dans une étude portant sur 1056 portées de 14 races différentes. Le Persan a également le plus fort taux de mortalité des chatons dans les 8 premières semaines. (Sparkes et al. 2006)
Portée de petite taille chez la chatte :
Chez le chat Persan la taille des portées semble plus réduite que dans d’autres races : 3,8 chatons en moyenne contre 4,6 dans une étude portant sur 1056 portées de 14 races différentes. (Sparkes et al. 2006)
Groupes sanguins :
Chez le chat Persan, la répartition des groupes sanguins est variable selon les pays :
En Australie : 67 % de groupe A, 22 % de groupe B et 11 % de groupe AB
En Grande-Bretagne : 80 % de groupe A, 20 % de groupe B et 0 % de groupe AB
Au Portugal : 86 % de groupe A, 14 % de groupe B
(Silvestre-Ferreira et al. 2004 ; Malik et al. 2005 ; Forcada, Guitian and Gibson 2007)
Cardiomyopathie hypertrophique (CMH ou HCM) :
Le chat Persan est prédisposé aux myocardiopathies hypertrophiques (CMH). Dans cette race, l’affection survient plutôt sur les chats d’âge moyen ou âgés avec une prédisposition des mâles. Pour certaines formes de CMH du Persan, une origine héréditaire est suspectée. (Atkins 2002)
Le chat Persan est prédisposé à une forme de Myocardiopathie hypertrophique (CMH ou MCH). L’oreillette gauche (AG) est très dilatée, la cavité ventriculaire gauche (VG) est réduite par l’hypertrophie très importante du myocarde ventriculaire (flèches).
Epanchement péricardique :
Le chat Persan semble plus fréquemment touché mais cette affection reste rare. (Davidson et al. 2008)
Hernie péricardo-diaphragmatique (phrénopéricardique) :
Le Persan est une race considérée comme prédisposée par certains auteurs, en particulier les femelles. Une transmission héréditaire sur un mode autosomal et récessif est rapportée. (Bonagura and Lehmkuhl 1999)
Polykystose hépatique :
Chez le Persan, la polykystose hépatique est héréditaire selon un mode autosomal et dominant. Elle est associée à la maladie rénale polykystique (PKD). (Eaton et al. 1997 ; Bosie, van den Ingh and van der Linde-Spiman 1998)
Shunt portosystémique congénital :
Chez le chat Persan, une prédisposition des mâles est rapportée, avec un fort taux de chats cryptorchides (24%). Il s’agit le plus souvent de shunt extra-hépatiques. (Tillson and Winkler 2002 ; Ellison 2004 ; Hunt 2004)
Cystite idiopathique :
Chez le chat Persan, une prédisposition est rapportée, en particulier pour les mâles castrés. L’âge moyen est de 4 ans et 11 mois. (Gunn-Moore 2003 ; Cameron et al. 2004)
Maladie rénale polykystique ( Polykystose rénale, PKD) :
Chez le chat Persan, cette affection est héréditaire selon un mode autosomal et dominant. On estime que 38 % des Persans sont affectés. L’insuffisance rénale peut apparaître dès l’âge de 2 à 3 ans. (Cannon et al. 2001 ; Barthez, Rivier and Begon 2003 ; Young et al. 2005)
Echographie des reins d’un chat Persan atteint de polykystose rénale (PKD)
Urolithiase (lithiase urinaire ou calculs urinaires) :
Chez le chat Persan une prédisposition aux calculs d’oxalate de calcium est rapportée. Les mâles sont plus exposés que les femelles, ainsi que les animaux stérilisés. L’âge moyen rapporté est de 7,5 ans. (Thumchai et al. 1996 ; Lekcharoensuk et al. 2000 ; Houston et al. 2003 ; Cannon et al. 2007)
Colobome des paupières :
Le chat Persan est considéré comme prédisposé au colobome congénital des paupières. (Belhorn, Barnett and Henking 1971)
Entropion :
Le chat Persan est prédisposé à l’entropion et une origine héréditaire est suspectée. (Narfström 1999)
Epiphora idiopathique :
Le chat Persan est une race prédisposée en raison de la forme de sa tête et des fentes palpébrales. (Gelatt 2007)
Chat Persan présentant un épiphora. Celui-ci est très fréquent dans la race.
Maladie lysosomale (alpha-mannosidose) :
voir en neurologie
Séquestre cornéen (ou nécrose de la cornée) :
Le chat Persan est considéré comme une race à risque. (Narfström 1999 ; Featherstone and Sansom 2004)
Syndrome de Chédiak-Higashi (CHS) :
voir Hématologie
Cryptorchidie, monorchidie ou ectopie testiculaire :
Dans certaines études, le chat Persan est considéré comme prédisposé à la cryptorchidie avec une suspicion de transmission héréditaire selon un mode polygénique. (Millis, Hauptman and Johnson 1992 ; Bruce 2001 ; Yates et al. 2003)
Mise bas et dystocie :
Le chat Persan est considéré par certains auteurs comme une race prédisposée aux dystocies. (Ekstrand and Linde-Forsburg 1994 ; Gunn-Moore and Thrusfield 1995)
Mortalité néonatale et périnatale :
Certains auteurs rapportent une viabilité des chatons à la naissance plus faible que dans d’autres races : (89,2%) chez le chat Persan contre 92,8% dans une étude portant sur 1056 portées de 14 races différentes. Le Persan a également le plus fort taux de mortalité des chatons dans les 8 premières semaines. (Sparkes et al. 2006)
Portée de petite taille chez la chatte :
Chez le chat Persan la taille des portées semble plus réduite que dans d’autres races : 3,8 chatons en moyenne contre 4,6 dans une étude portant sur 1056 portées de 14 races différentes. (Sparkes et al. 2006)
Tumeur baso-cellulaire :
Chez le Persan, une prédisposition aux tumeurs basocellulaires est rapportée, y compris pour le carcinome basocellulaire. Le risque augmente avec l’âge. (Diters and Walsh 1984 ; Goldschmidt and Shofer 1992 ; Thomas and Fox 1998)
Tumeurs des glandes sébacées :
Le Persan est une race de chat considérée comme prédisposée aux tumeurs des glandes sébacées par certains auteurs. (Goldschmidt and Mcmanus 2000)
Dermatite faciale idiopathique :
Chez le chat Persan, c’est une affection peu fréquente dont la cause est inconnue mais une origine génétique est évoquée. (Hnilica 2003)
Séborrhée primaire :
Chez le Persan, c’est une affection rare avec une transmission héréditaire autosomique et récessive. (Scott, Miller and Griffin 2001).
Teigne (dermatophytose) :
L’affection est fréquente chez le chat Persan qui peut développer des pseudo-mycétomes sous formes de nodules ulcérés et suintants sur le dos où la base de la queue. (Scott and Paradis 1990)
Chat atteint de teigne. Lésions typiques circulaires : dépilations, rougeur, pellicules
Isoérythrolyse néonatale :
Chez le Persan, le pourcentage de mariages à risque est estimé à 12 % (Bussiere 2009)
Syndrome de Chédiak-Higashi (CHS) :
Cette affection est décrite chez le Persan blue smoke uniquement. Sa transmission est héréditaire selon un mode autosomique et récessif. Les signes cliniques se traduisent par une hypopigmentation du fond d’œil et de l’iris, un nystagmus, une cataracte. (Collier, Bryan and Prieur 1979 ; Giger 2003)
Maladies lysosomales nerveuses :
Chez le Persan, une maladie lysosomale, l’alpha-mannosidose, est décrite mais rare. Une origine héréditaire est suspectée. Les signes cliniques apparaissent vers 2 à 4 mois. Un test génétique existe. (Bagley 2005)
Polype nasopharyngé :
Une prédisposition du chat Persan est rapportée par certains auteurs, en particulier pour les jeunes persans, sans prédisposition de sexe (Salisbury 2002)