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Le Retriever de la baie de Chesapeake appartient au groupe VIII : Chiens rapporteurs de gibier, leveurs de gibier et chiens d’eau.
En 2015, le Livre des Origines Français (LOF) n’a enregistré que 5 inscriptions. En France, c’est actuellement une race extrêmement peu commune (255ème place en 2015).
C’est un chien plutôt robuste. La littérature scientifique concernant les prédispositions pathologiques pour cette race est essentiellement nord-américaine.
Mélanome cutané :
Une prédisposition du Chesapeake Bay retriever est rapportée dans une étude, avec un âge moyen de 8,9 ans. (Goldschmidt and Shofer 1992)
Alopécie du chien adulte :
L’affection est décrite chez le Chesapeake Bay Retriever, entre 5 mois et 4 ans. Une prédisposition familiale est évoquée mais le mode d’hérédité est actuellement inconnu. (Cerundolo et al. 2005)
Alopécie du chien adulte chez un Chesapeake Bay retriever (d’après Cerundolo)
Maladie de von Willebrand :
Chez le Chesapeake Bay retriever, on rencontre des formes de type III de la maladie, avec une transmission autosomale et récessive. (Giger 2003)
Atrophie rétinienne progressive généralisée (ARP, GPRA) :
Chez le Chesapeake Bay retriever, une hérédité autosomale récessive est suspectée. Deux formes sont décrites : l’une est détectable entre 8 et 12 mois, l’autre est plus tardive (4 à 7 ans). Une mutation génétique (PRCD) a été identifiée et est détectable par un test (Rubin 1989 ; ACVO Genetics Committee 2007 ; Gelatt 2007 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Cataracte :
Chez le Chesapeake Bay retriever, la cataracte héréditaire s’observe généralement entre 6 mois et 2 ans. La forme la plus courante évolue généralement lentement et sans aller jusqu’à une perte totale de la vision. La transmission génétique se fait selon un mode autosomique, dominant, à pénétrance incomplète. (Gelatt et al. 1979 ; Rubin 1989 ; Gelatt and Mackay 2005 ; ACVO Genetics Committee 2007 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Dysplasie rétinienne :
Chez le Chesapeake Bay retriever, il existe une forme avec des plis rétiniens qui n’entraine pas obligatoirement de troubles visuels et une forme géographique qui peut être responsable de troubles. Une transmission héréditaire, selon un mode autosomique et récessif est suspectée. Il est déconseillé de faire reproduire les chiens atteints. (Rubin 1989 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Entropion :
Chez le Chesapeake Bay retriever, l’entropion est peu fréquent mais considéré comme probablement héréditaire selon un mode polygénique. Il touche plus volontiers la paupière inférieure à son bord latéral ou dans son entier. (Rubin 1989 ; ACVO Genetics Committee 2007 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Kystes de l’iris :
Une prédisposition à des kystes de l’iris est rapportée chez le Chesapeake Bay retriever par certains auteurs, avec un âge moyen de 4 à 6 ans. Ils peuvent se détacher et flotter librement dans la chambre antérieure, sans gène visuelle, sauf s’ils sont trop nombreux. (Rubin 1989, Chaudieu et Chahory 2013)
Kystes de l’iris chez un chien
Dysplasie de la hanche :
Chez le Chesapeake Bay retriever, l’affection est assez fréquente, avec une prédisposition des mâles castrés. Le Odds ratio par rapport aux chiens de race commune est de 4,4. (LaFond, Breur and Austin 2002)
Ostéochondrose de l’épaule :
Chez le Chesapeake Bay retriever, l’ostéochondrose de l’épaule est assez fréquente avec un Odds ratio par rapport aux races croisées de 7,7. On note une prédisposition des mâles. L’âge moyen d’apparition est de 4-7 mois, parfois plus tard. (LaFond, Breur et Austin 2002)
Panostéite éosinophilique ou énostose :
Chez le Chesapeake Bay retriever, l’affection est assez commune et les jeunes mâles sont plus touchés. Par rapport aux races croisées, le Odds ratio chez le Chesapeake Bay retriever est de 1,8. (LaFond, Breur and Austin 2002)
Radiographie de la patte avant d’un chien atteint de panostéite éosinophilique (ou énostose). L’intérieur de l’os (canal médullaire) apparaît très anormalement « blanc » (flèche). Le chien a présenté brutalement une boiterie de la patte avant.
Rupture des ligaments croisés :
C’est une cause fréquente de boiterie d’un membre postérieur chez le Chesapeake Bay retriever, surtout chez les chiens stérilisés. (Duval et al. 1999)
Mélanome cutané :
Une prédisposition du Chesapeake Bay retriever est rapportée dans une étude, avec un âge moyen de 8,9 ans. (Goldschmidt and Shofer 1992)
Maladie de von Willebrand :
Chez le Chesapeake Bay retriever, on rencontre des formes de type III de la maladie, avec une transmission autosomale et récessive. (Giger 2003)
Dysplasie de la hanche :
Chez le Chesapeake Bay retriever, l’affection est assez fréquente, avec une prédisposition des mâles castrés. Le Odds ratio par rapport aux chiens de race commune est de 4,4. (LaFond, Breur and Austin 2002)
Ostéochondrose de l’épaule :
Chez le Chesapeake Bay retriever, l’ostéochondrose de l’épaule est assez fréquente avec un Odds ratio par rapport aux races croisées de 7,7. On note une prédisposition des mâles. L’âge moyen d’apparition est de 4-7 mois, parfois plus tard. (LaFond, Breur et Austin 2002)
Panostéite éosinophilique ou énostose :
Chez le Chesapeake Bay retriever, l’affection est assez commune et les jeunes mâles sont plus touchés. Par rapport aux races croisées, le Odds ratio chez le Chesapeake Bay retriever est de 1,8. (LaFond, Breur and Austin 2002)
Radiographie de la patte avant d’un chien atteint de panostéite éosinophilique (ou énostose). L’intérieur de l’os (canal médullaire) apparaît très anormalement « blanc » (flèche). Le chien a présenté brutalement une boiterie de la patte avant.
Rupture des ligaments croisés :
C’est une cause fréquente de boiterie d’un membre postérieur chez le Chesapeake Bay retriever, surtout chez les chiens stérilisés. (Duval et al. 1999)
Alopécie du chien adulte :
L’affection est décrite chez le Chesapeake Bay Retriever, entre 5 mois et 4 ans. Une prédisposition familiale est évoquée mais le mode d’hérédité est actuellement inconnu. (Cerundolo et al. 2005)
Alopécie du chien adulte chez un Chesapeake Bay retriever (d’après Cerundolo)
Atrophie rétinienne progressive généralisée (ARP, GPRA) :
Chez le Chesapeake Bay retriever, une hérédité autosomale récessive est suspectée. Deux formes sont décrites : l’une est détectable entre 8 et 12 mois, l’autre est plus tardive (4 à 7 ans). Une mutation génétique (PRCD) a été identifiée et est détectable par un test (Rubin 1989 ; ACVO Genetics Committee 2007 ; Gelatt 2007 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Cataracte :
Chez le Chesapeake Bay retriever, la cataracte héréditaire s’observe généralement entre 6 mois et 2 ans. La forme la plus courante évolue généralement lentement et sans aller jusqu’à une perte totale de la vision. La transmission génétique se fait selon un mode autosomique, dominant, à pénétrance incomplète. (Gelatt et al. 1979 ; Rubin 1989 ; Gelatt and Mackay 2005 ; ACVO Genetics Committee 2007 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Dysplasie rétinienne :
Chez le Chesapeake Bay retriever, il existe une forme avec des plis rétiniens qui n’entraine pas obligatoirement de troubles visuels et une forme géographique qui peut être responsable de troubles. Une transmission héréditaire, selon un mode autosomique et récessif est suspectée. Il est déconseillé de faire reproduire les chiens atteints. (Rubin 1989 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Entropion :
Chez le Chesapeake Bay retriever, l’entropion est peu fréquent mais considéré comme probablement héréditaire selon un mode polygénique. Il touche plus volontiers la paupière inférieure à son bord latéral ou dans son entier. (Rubin 1989 ; ACVO Genetics Committee 2007 ; Chaudieu et Chahory 2013)
Kystes de l’iris :
Une prédisposition à des kystes de l’iris est rapportée chez le Chesapeake Bay retriever par certains auteurs, avec un âge moyen de 4 à 6 ans. Ils peuvent se détacher et flotter librement dans la chambre antérieure, sans gène visuelle, sauf s’ils sont trop nombreux. (Rubin 1989, Chaudieu et Chahory 2013)
Kystes de l’iris chez un chien